« Qui range sa maison range sa tête », disaient nos mères et nos grand-mères. Un adage de plus en plus d’actualité, à une époque où consommer est devenu un sport national.
Notre maison est le reflet de notre « intérieur » : encombrée, en désordre, elle révèle souvent un cerveau en pagaille, une vie confuse ou compliquée. Face à l’accumulation de biens caractéristique de notre société de consommation, il est impératif, de temps à autre, de faire chez soi un vrai rangement. Celui-ci, s’il s’accompagne (ce qui devrait être obligatoire) d’un tri, permet non seulement de clarifier ses besoins et ses envies, mais aussi de repartir du bon pied, de prendre un nouveau départ. Au lieu de pester parce qu’un placard déborde ou d’aller en acheter un plus grand, il vaut mieux le vider et faire un tri efficace, ce qui libère de la place en éliminant bien des choses inutiles ou en triple exemplaire.
Notre maison est le reflet de notre « intérieur » : encombrée, en désordre, elle révèle souvent un cerveau en pagaille, une vie confuse ou compliquée. Face à l’accumulation de biens caractéristique de notre société de consommation, il est impératif, de temps à autre, de faire chez soi un vrai rangement. Celui-ci, s’il s’accompagne (ce qui devrait être obligatoire) d’un tri, permet non seulement de clarifier ses besoins et ses envies, mais aussi de repartir du bon pied, de prendre un nouveau départ. Au lieu de pester parce qu’un placard déborde ou d’aller en acheter un plus grand, il vaut mieux le vider et faire un tri efficace, ce qui libère de la place en éliminant bien des choses inutiles ou en triple exemplaire.