Dans une environnement harmonieux, l'énergie arrive tranquillement, déambule, de façon nonchalante, en nous caressant au passage, comme une fraîche brise de printemps, et s’en va à sa guise, tout aussi paisiblement. Le Ch’i se tient toujours en équilibre entre deux extrêmes. Il y a le Ch’i qui nous enrichit copieusement, et celui qui possède une nature insidieuse, véritablement hostile. Nous pouvons vivre un certain temps dans un milieu défavorable, une heure, une journée, et peut-être même une semaine, tout en continuant à nous sentir bien. Mais si nous y vivons ou y travaillons à longueur de temps, alors, comme une goutte d’eau ronge une pierre, nous en subissons, nous aussi, les mauvais effets.
Une histoire classique illustre bien ce qui précède : il était une fois un homme, qui, pour pouvoir rentrer chez lui, devait toujours se faufiler sous une branche d’arbre qui lui barrait l’accès de sa porte d’entrée. Comme il ne se décidait pas à la couper, chaque jour, il devait continuer à se courber pour pouvoir rentrer chez lui. Bientôt, il commença à se voûter. Une simple branche d’arbre venait de changer son allure. Comme cette posture voûtée le faisait souffrir, il ne pouvait plus travailler, et de graves problèmes financiers en découlèrent.
De bon cœur, un voisin voulut lui apporter des légumes, tout frais, de son jardin. Mais voilà que cette branche d’arbre l’empêcha de passer. Pour gagner la porte d’entrée, il aurait fallu qu’il dépose son panier pour se faufiler sous la branche, et décida, plutôt, d’aller porter ses produits à quelqu’un d’autre. De plus, le voisin s’en fut avec l’impression que l’homme n’était vraiment pas très accueillant. Pourquoi laisserait-il une branche pousser devant sa porte d’entrée, s’il était fréquentable ? Il se promit bien de ne plus retourner le voir. Les jours suivants, le voisin raconta cette anecdote à plusieurs personnes. Plus l’histoire était racontée, plus elle était exagérée, et les gens finirent par conclurent que l’homme était une vraie nuisance pour le voisinage, à cause de sa propriété mal entretenue, sans parler de ses mauvaises manières. Une simple branche d’arbre venait de porter son coup de grâce à un homme…
Une histoire classique illustre bien ce qui précède : il était une fois un homme, qui, pour pouvoir rentrer chez lui, devait toujours se faufiler sous une branche d’arbre qui lui barrait l’accès de sa porte d’entrée. Comme il ne se décidait pas à la couper, chaque jour, il devait continuer à se courber pour pouvoir rentrer chez lui. Bientôt, il commença à se voûter. Une simple branche d’arbre venait de changer son allure. Comme cette posture voûtée le faisait souffrir, il ne pouvait plus travailler, et de graves problèmes financiers en découlèrent.
De bon cœur, un voisin voulut lui apporter des légumes, tout frais, de son jardin. Mais voilà que cette branche d’arbre l’empêcha de passer. Pour gagner la porte d’entrée, il aurait fallu qu’il dépose son panier pour se faufiler sous la branche, et décida, plutôt, d’aller porter ses produits à quelqu’un d’autre. De plus, le voisin s’en fut avec l’impression que l’homme n’était vraiment pas très accueillant. Pourquoi laisserait-il une branche pousser devant sa porte d’entrée, s’il était fréquentable ? Il se promit bien de ne plus retourner le voir. Les jours suivants, le voisin raconta cette anecdote à plusieurs personnes. Plus l’histoire était racontée, plus elle était exagérée, et les gens finirent par conclurent que l’homme était une vraie nuisance pour le voisinage, à cause de sa propriété mal entretenue, sans parler de ses mauvaises manières. Une simple branche d’arbre venait de porter son coup de grâce à un homme…
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