En Feng Shui, les portes d’entrée sont vues comme des bouches, à travers lesquelles l’énergie, tout comme l’air que nous respirons, entre et ressort. Le seuil d’entrée d’une maison sert de préambule à ce qui suit, tout en symbolisant nos relations avec le monde. Le porche d’une maison qui se distingue agréablement depuis la rue, ou une arrivée joliment définie, servent de chenal bien balisé pour le Ch’i.
Rien ne doit pouvoir empêcher la porte d’entrée de s’ouvrir à fond, autrement dit, il ne doit pas y avoir de meubles qui gênent son ouverture complète, et encore moins des choses « rangées » derrière elle. L’objectif est de deux sortes : faire entrer le plus de Ch’i possible, et accueillir agréablement le visiteur. Quand une porte d’entrée s’ouvre à fond, cela veut dire que les occupants de l’endroit sont prêts à saisir toutes les opportunités qui se présentent à eux, tout comme à profiter pleinement de toutes les circonstances heureuses que la vie leur réserve. La voie est libre.
Les vestibules servent à nous introduire au reste de la maison. Quand nous ouvrons une porte d’entrée, et qu’un mur à moins de deux mètres, semble se « jeter » sur vous, le remède, c’est d’y accrocher un miroir, ou d’y suspendre un tableau où figure un paysage qui ait de la profondeur.
Rien ne doit pouvoir empêcher la porte d’entrée de s’ouvrir à fond, autrement dit, il ne doit pas y avoir de meubles qui gênent son ouverture complète, et encore moins des choses « rangées » derrière elle. L’objectif est de deux sortes : faire entrer le plus de Ch’i possible, et accueillir agréablement le visiteur. Quand une porte d’entrée s’ouvre à fond, cela veut dire que les occupants de l’endroit sont prêts à saisir toutes les opportunités qui se présentent à eux, tout comme à profiter pleinement de toutes les circonstances heureuses que la vie leur réserve. La voie est libre.
Les vestibules servent à nous introduire au reste de la maison. Quand nous ouvrons une porte d’entrée, et qu’un mur à moins de deux mètres, semble se « jeter » sur vous, le remède, c’est d’y accrocher un miroir, ou d’y suspendre un tableau où figure un paysage qui ait de la profondeur.
