Bien ranger pour un nouveau départ



« Qui range sa maison range sa tête », disaient nos mères et nos grand-mères. Un adage de plus en plus d’actualité, à une époque où consommer est devenu un sport national.
Notre maison est le reflet de notre « intérieur » : encombrée, en désordre, elle révèle souvent un cerveau en pagaille, une vie confuse ou compliquée. Face à l’accumulation de biens caractéristique de notre société de consommation, il est impératif, de temps à autre, de faire chez soi un vrai rangement. Celui-ci, s’il s’accompagne (ce qui devrait être obligatoire) d’un tri, permet non seulement de clarifier ses besoins et ses envies, mais aussi de repartir du bon pied, de prendre un nouveau départ. Au lieu de pester parce qu’un placard déborde ou d’aller en acheter un plus grand, il vaut mieux le vider et faire un tri efficace, ce qui libère de la place en éliminant bien des choses inutiles ou en triple exemplaire.

Une place pour chaque chose, chaque chose à sa place



Au fil des années, on accumule et on entasse sans même y penser. Résultat : on se sent envahi, stressé, fatigué sans trop savoir pourquoi. Dans ces cas-là, un grand nettoyage s’impose. Mais on reste parfois démunie devant l’ampleur de la tâche… C’est là que j’interviens !
Ma spécialité ? Redynamiser les énergies d’un intérieur qui connaît une certaine forme d’abandon et ne correspond plus à votre style de vie. Bien gérer son espace pour mieux contrôler son temps…
Mes conseils :
- Trier tous les six mois vos affaires : les intersaisons sont de bonnes périodes pour changer.
- Se poser les bonnes questions : qu’est-ce qui est vraiment essentiel pour vous ?
- Jeter, donner ou vendre : les vêtements que vous ne portez plus, les achats coups de tête ou de compensation… (sachez que remplir sa maison, c’est combler son vide intérieur)…
- Regrouper : les objets de même nature : les plats dans la cuisine, les assiettes près de la table, les draps dans la chambre…
- Faire tourner les meubles : pour trouver la place qui les valorise.
Avant d’intervenir, je discute beaucoup avec les gens pour savoir comment ils vivent, ce qu’ils aiment, leurs habitudes, leurs priorités…
Ma technique : trier, classer, jeter, débarrasser les choses inutiles ou les déplacer. Et les résistances font partie des risques ! Quand une personne ouvre sa porte, elle est prête à se remettre en question. Mais parfois le changement est plus difficile qu’elle ne l’imagine : c’est dur de lâcher des choses…
Au fil du chantier, outre des solutions immédiates, je propose des idées concrètes afin de préserver l’harmonie dans la durée. Selon la problématique et l’état des lieux, une ou deux heures, voire plus d’une journée, sont nécessaires pour retrouver un espace agréable à vivre au quotidien…

Je fais le plein d’énergie


Peu de personnes le savent mais les lieux où nous vivons sont plus ou moins chargés en électricité, selon qu’ils contiennent davantage d’ions positifs ou négatifs. Un trop-plein des premiers (comme c’est le cas en milieu urbain ou pollué) et c’est l’oppression assurée. Au contraire, quand les seconds prédominent, on se sent apaisé illico. Plusieurs études constatent le phénomène sans véritablement l’expliquer.
Si l’idéal consiste à se mettre au vert, aux abords d’une forêt par exemple, pour se recharger en ions négatifs, il existe des appareils conçus pour assainir l’atmosphère, à la maison ou au bureau : on parle d’ioniseurs ou ionisateurs. Leur efficacité est réelle – mais le choix du bon appareil est assez délicat : il ne doit produire ni ozone, ni oxyde de carbone, ni oxyde d’azote et doit débiter au minimum deux cent cinq mille ions au centimètre cube à une distance de 1 mètre (ces informations un peu techniques sont inscrites sur l’emballage).
Sachez aussi que les lampes de sel (il s’agit de blocs de sel évidés au centre pour y placer une ampoule, que l’on trouve en magasins biologiques ou chez Nature & Découvertes) et les minifontaines d’intérieur produisent un peu d’ions négatifs, mais en quantité insuffisante pour concurrencer les ionisateurs.

Je chasse la grisaille !



C’est connu, les couleurs influencent notre état d'esprit et même notre état psychologique. D’où l’importance de choisir le papier peint ou la peinture qui nous corresponde vraiment grâce à notre "élément" Feng Shui (« écolabellisée » si possible, afin qu’elle soit exempte de solvants et de métaux lourds), mais aussi les rideaux, les coussins, voire les meubles si vous êtes en train d’aménager votre intérieur.
Soyez vigilant pour choisir les tableaux qui ornent les murs : couleurs tristes, images agressives ou atmosphère nostalgique imprègnent les lieux de leur énergie particulière.
La lumière c’est la vie ! La preuve : ce sont les rayons ultraviolets du soleil qui permettent la synthèse de la vitamine D, indispensable à la fixation du calcium des os. Si votre domicile est sombre, veillez à organiser l’éclairage en fonction des besoins de l’organisme : la cuisine, la salle à manger, le bureau ou la salle de jeux devront être très clairs, quitte à laisser la lumière artificielle en permanence (prévoyez pour cela des ampoules basse tension). Ajoutez, çà et là, des touches de couleur. Privilégiez plutôt des lumières tamisées et des teintes douces dans le salon, la chambre et la salle de bains.
Attention ! Si vous souhaitez suivre mes conseils dans l'ordre chronologique (pour une meilleure compréhension !) je vous préconise de commencer par les premiers articles, c'est à dire ceux qui sont les derniers du blog, tout au bout ! Si vous avez une recherche précise, vous pouvez taper le mot correspondant dans le petit onglet à droite : Rechercher dans ce blog. Bonne lecture !